Marie Magnin
Sa douce sensibilité a amené Marie à traiter des sujets émouvants et percutants, allant d'une station balnéaire touchée par la crise au devenir d’un bal musette.
Grâce à son regard vrai et juste elle nous transporte dans chaque histoire avec délicatesse.
Grâce à son regard vrai et juste elle nous transporte dans chaque histoire avec délicatesse.
Après une formation en droit puis en journalisme, Marie Magnin travaille d’abord pendant une dizaine d’années comme journaliste reporter d’images puis chef monteuse pour la télévision avant de devenir photojournaliste.
Basée à Paris, et membre du studio Hans Lucas depuis 2017, elle couvre l’actualité sociale et politique pour la presse, et développe des projets photographiques documentaires.
Son travail questionne la vulnérabilité, l’isolement, la rudesse de la société.
Basée à Paris, et membre du studio Hans Lucas depuis 2017, elle couvre l’actualité sociale et politique pour la presse, et développe des projets photographiques documentaires.
Son travail questionne la vulnérabilité, l’isolement, la rudesse de la société.
2020
Peine de genre - festival Face à la mer à Tanger
2019
Chez Totor, à la croisée des solitudes - Festival de photoreportage Barrobjectif
2017
Au loin, l’Angleterre - Exposition à Nutriset à Rouen,
à l’occasion d’un cycle de conférences sur les populations en mouvement
2016
Au loin, l’Angleterre - Festival Confrontations Photo de Gex
2016
Au loin, l’Angleterre - Gobelins l’école de l’image
Peine de genre - festival Face à la mer à Tanger
2019
Chez Totor, à la croisée des solitudes - Festival de photoreportage Barrobjectif
2017
Au loin, l’Angleterre - Exposition à Nutriset à Rouen,
à l’occasion d’un cycle de conférences sur les populations en mouvement
2016
Au loin, l’Angleterre - Festival Confrontations Photo de Gex
2016
Au loin, l’Angleterre - Gobelins l’école de l’image
Coup de 💜
Les romantiques
Cette photo, c'est une histoire d'amour, l'amour de la danse, de la vie et surtout l'amour tout court. Et vous quel est votre photographie coup de cœur ?
Les séries de Marie Magnin
Marie nous fait voyager dans deux univers différents : l'un parlant de danse, d'amour, de nostalgie, l'autre illustrant des paysages abandonnés par les touristes suite à la pandémie. Deux histoires parfaitement mises en valeurs grâce à une technique irréprochable.
Dolor y Gloria
Douleur et gloire. Ce qui se joue en ce moment à Lanzarote pourrait bien reprendre le titre du dernier film de Pedro Almodovar, qui a tourné sur ces terres.
Chez Totor, à la croisée des solitudes
C'est un rendez-vous que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître. On y vient pomponné, bien sapé, le dimanche après-midi, c'est bal musette, chez Totor, dans le petit village de Publier, sur les hauteurs du Lac Léman en Haute-Savoie.
Les autres photographes de la galerie
Théo Giacometti
Le travail de Théo nous transporte systématiquement. Il écrit aussi bien avec ses mots qu'avec ses images. Les histoires qu'il nous raconte sont passionnantes, allant d'un village Inuit, à des villes étouffantes de monde et d'inégalités.
Caroline Fernandez
C'est un doux voyage dans nos souvenirs, dans notre quotidien aussi, que nous propose Caroline. Remplies de sensibilité de douceur et de simplicité, ses images nous amènent dans son univers aux nombreuses références cinématographiques et littéraires.
Mip Pava
Un soupçon surnaturel, un brin mélancolique aussi, le travail de Mip Pava majoritairement argentique questionne sur la temporalité, l'enfance, notre monde ou notre réalité.
Orianne Ciantar Olive
Orianne est une vraie touche à tout. En perpétuelle évolution pour acquérir de nouveaux savoirs, connaître de nouvelles approches, elle affine son regard au fil de son parcours. Sensible et touchante, elle traite des sujets profonds avec beaucoup de justesse.