Guillaume Noury

L'univers de Guillaume, atteste d'une grande sensibilité et d'une grande douceur. Ses images, souvent très contrastées et exclusivement en noir et blanc, pour celles que nous présentons, ont une lumière d'une beauté abrupte.

Photographe intuitif du quotidien, il aime expérimenter des images en noir et blanc.
Attiré par une certaine lumière, celle qui lui permettra de trouver un souffle poétique, il s'applique à rester disponible, prêt à cueillir des instants particuliers.

Des moments qui font écho à ses souvenirs ou à ses sensations.
Sa série "Terres Obsidiennes" fait l'objet d'un livre photo aux éditions Sur La Crête.
Expositions :
2023 - Arles Exposition collective Galerie Triangle - Série : Terres obsidiennes
2018 - Planche(s) Contact, Deauville, Pendant que la mer monte, 
2018 - Venezia photo, Nous savoir... 
2017 - Trieste Photo Days, Sarajevo
2017 - Quinzaine Photographique Nantaise, En attendant que tout bascule, 
2017 - Vincennes Image Festival, En attendant que tout bascule
2016 - Rendez-vous image, La traversée
2015 - Vincennes Image Festival, le champ des possibles
Récompenses :
2021 - Parution "Terres obsidiennes", éditions Sur La Crête
2018 - Prix du jury, festival Planche(s) Contact, Deauville
2015 - 1er lauréat Vincennes Images Festival
Portrait Guillaume Noury- ©Nathalie Champagne- galerie triangle
Coup de 💜

La serveuse

Sa texture, ses doux contrastes et ses subtiles références font de "La serveuse" notre coup de cœur. Et vous quel est le vôtre ?
La serveuse_Guillaume Noury_Galerie Triangle Découvrir La serveuse
“ J'ai toujours été attiré par l'idée de faire ressortir le mystère des choses qui paraissent banales, le sujet n'est pas important, c'est que l'on en fait qui compte. ”

Les séries de Guillaume Noury

Les séries de Guillaume nous plongent dans un univers nostalgique et mélancolique rythmé par les textes et les poèmes qui les décrient. Le noir et blanc de ses photographies, leurs contrastes et leurs lumières sont un mélange de souvenir d'enfance de rêverie, comme si chaque instant nous était déjà familier.

Pendant que la mer monte

Ces visages blancs ... qu’ont-ils fait de leur expression ? Sont-ils attentifs à la course des chevaux ? Ou à la course de la mer répétée inlassablement ?
Un mouvement ondulatoire fait découvrir, en ses plis, des visages ahuris de pâleur, faces de théâtre cohabitant avec des silhouettes furtives.

Texte de Patrice Lumeau
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Terres obsidiennes

Sombre et profonde entre tes mains 
Cette pierre d’obsidienne
Roule. Le soleil se tourne et la nuit vient
Derrière l’opaline, une autre lumière s’éveille
Et sourd s’ouvre
Ce monde qui t’appartient

Texte d'Amélie Samson
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